Little Known Facts About Vêtements algériens.
Little Known Facts About Vêtements algériens.
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La diffusion des premiers velours day du XVe siècle[fifty four]. Durant la période ottomane, l'impact des costumes levantins qui pénètre par le biais d'Alger, occasionne une série non-négligeable de mutations[fifty five]. Le caftan est ainsi introduit à l'instar d'autres villes algériennes[56].
Malgré son ancienneté, le karakou évolue avec le temps et reste une tenue prisée lors des cérémonies algériennes actuelles.
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Le pan qui couvrait le dos est connecté par des fibules triangulaires (ibezimen)[ninety two]. Le timelhaft est l'autre vêtement ancien connu[92], cette pièce d'étoffe rectangulaire en wonderful cotonnade blanche ou gaze serrée, est retenue également aux épaules par de grandes fibules (tikhlatin). La jeune fille s'habillait avec le dhil, sorte de cape de laine[93].
Pour soutenir l’opulence des broderies, le karakou est confectionné à partir de tissus robustes tels que le velours, reconnu pour sa texture dense et son attract luxueuse. La soie est également fréquemment utilisée pour son raffinement et son lissé.
Les tailles disponibles vont des petites aux grandes, et sont adaptées à toutes les morphologies. La boutique offre également un support de personnalisation sur check here mesure, qui permet aux shoppers de personnaliser leur robe Kabyle en fonction de leurs préférences personnelles.
Le prix du Karakou dépend de la qualité de la robe et des possibilities proposées, mais il reste généralement abordable pour une tenue aussi raffinée. Les mariages étant des événements importants en Algérie, il est habituel pour les femmes de se procurer une robe Karakou pour l'situation.
Obligatoire, autrefois, elle est aujourd'hui facultative. C'est une longue pièce d'étoffe aux rayures longitudinales servant le as well as souvent de jupe nouée autour de la taille[97].
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Ce vêtement représente un élément-clé dans la préservation des traditions algériennes. En s’adaptant aux tendances contemporaines sans perdre son essence, le Karakou perpétue l’héritage culturel à travers les générations, et renforce son rôle en tant que patrimoine vestimentaire significatif.
Une chaîne, appelée hrouz ou ktoub, joint les deux fibules[104]. Les femmes se father or mother fréquemment d'un diadème, aassaba ou jbin. Les habitantes du Djebel Amour l'appellent mchebek et plantent au sommet de sa plaque centrale une, voire plusieurs plumes d'autruche[a hundred and five].
Autre symbole de l’routine algérois, qui résiste non sans peine à la modernité, le Haïk, intimement associé à l’histoire d’Alger “El-Mahroussa” et assez ressemblant à la M’lahfa des Ouled Naïl, dans l’Est du pays, dont la capitale Constantine est résetée pour sa gandoura Fergani en velours et l’art de la broderie (Tarz) qui en représente l’ornement, fait encore savoir Mr Khelfaoui.
Le Karakou algérien, au-delà de son facet culturel, joue un rôle significatif dans l’autonomisation des femmes et la dynamisation de l’économie locale.
L'établissement de la formule moderne de la tenue traditionnelle constantinoise reste l'œuvre de Fergani, c'est pourquoi elle lui doit son nom actuel, djebbet fergani (djoubba de Fergani). Cette robe persiste et impact l'évolution des costumes fileéminins de toute l'Algérie orientale[67].
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